Tous les textes écrits par Maria R.
- La belle chinoise d'en haut
- Je dis... et...
- Sans masque
- Ton rire
- Á six ans
- Maudite porte
- Les rêves meurent
- Le Printemps du Livre à Grenoble
- Hommage à l'artiste
- Juste un moment
- Si les pierres...
- Une clef ! La vôtre ?
- Nuit de Noël
- Dumbo, l'éléphant qui s'évapore
- Je le vois...
- Dis-moi dix mots que tu accueilles
- 3 histoires courtes à partir d'un pêle-mêle de photos
- Histoire en Noir & Blanc
- Petite histoire d'un beau cheval blanc
-
Ton texte" maudite porte", aux saveurs douces et ameres de la vie, est criant de justesse. L'amour et la douleur sont tres bien exprimes dans la trame du quotidien et compose un hommage intime et emouvant a ce pere disparu.
RépondreSupprimer:) Valerie
Il n'y a pas d'amour sans douleur... Merci pour tes mots Valérie. Au plaisir de te lire :) María
SupprimerEmue aux larmes par cette "maudire porte "qui ne se referme jamais , qui fait mal, qui fait du bien ...
RépondreSupprimerMerci Maria R !
de Jacqueline Z.
Merci á toi Jacqueline pour me lire. Il y a des sentiments que nous reconnaissons tous, comme l'affrontement de la mort et comme tu dis cette maudite porte qui ne se referme jamais, fait mal mais fait aussi du bien...c'est juste une question de laisser passer le temps. Merci pour tes mots. María.
SupprimerUne "maudite porte" très émouvante et aussi magnifiquement composée.
RépondreSupprimerAh ! Les lectrices boulimiques se reconnaissent bien là !!
RépondreSupprimerPour moi, c'est même plus tôt puisque qu'à cinq ans je cachai que je savais lire, l'institutrice et ma mère à qui je voulais faire cette surprise, avaient hurlées "arrête donc de faire ton intéressante !!" Seul, mon frère, flemmard, se servit de ce savoir tout neuf pour me faire ânonner ses illustrés.
Les livres ont gardé de ce temps, un goût délicieux de presqu'interdit !
Oups ! Les deux commentaires précédent sontt de Lyline.
RépondreSupprimerMerci Lyline pour tes commentaires qui me font particulièrement plaisir. Trop mignonne la petite Lyline de cinq ans devant ces adultes qui ne comprenaient rien. Trop tendre... elle, qui ne voulait que faire une surprise á sa maman.... Un souvenir qui t'a beaucoup marqué sans doutes. L'imcompréhension des autres est parfois vraiment dure á supporter :( Vive les livres, vive les mots, vive les sentiments et surtout vive les enfants. Encore merci Lyline. María.
SupprimerLes fautes d'orthographes sont aussi de Lyline !!!
SupprimerQuand on aime lire , on ne s' ennuie jamais . Et tu nous racontes si bien cette passion que nous sommes nombreuse à partager .Martine
RépondreSupprimerUne maudite porte ouverte sur tant d'émotions que l'on ressent si bien, merci Maria.
RépondreSupprimerAndré G
C'est en te lisant, comme toujours avec beaucoup de plaisir et d'interet, que j'ai realise avec emotion que l'acte de lire fut aussi mon premier acte pour me definir, ma premiere liberte, ma premiere revolte! Merci Maria :) Amicalement Valerie B
RépondreSupprimerA mon humble avis, on devrait peut -etre demander pardon pour fermer son coeur mais on ne devrait jamais avoir a le faire pour l'ouvrir :)
Je suis heureuse de compartir ma première révolte avec toi :D Merci pour tes mots, merci de dire que c'est bien d'ouvrir son coeur, je pense comme toi :) Amicalement. María.
SupprimerJe n'aurais pas su le dire plus joliment, Valérie ! On ne devrait jamais demander pardon pour ouvrir son cœur ! Nicole L.
SupprimerBien sûr que j'ai aussi pensé au masque de la mort, mais je n'aurais rien écrit d'aussi bien imaginé et bien tourné ... Bravo Maria
RépondreSupprimerJacqueline Z
Une idée plutôt glaçante au début, mais ton style fait qu'il n'en est rien et que nous nous trouvons à presque être triste pour cette pauvre faucheuse qui fait juste son boulot, utilement et sérieusement. Bien joué Maria .
RépondreSupprimerLilyne
Tu rends la mort presque sympathique . Magnifiquement mené!
RépondreSupprimerMartine
Le sujet est fascinant et peut-etre traite sous bien des angles mais les ecueils sont nombreux, difficile de trouver le ton juste ! Tu t'en es superbement sortie!
RépondreSupprimerLa rencontre est belle et la douceur du ton inespere. Bien joue! Amities, Valerie.
Merci pour ce beau texte, rempli de compassion. La mort fait peur et elle est souvent niée, pourtant elle est partie intégrante de nos vies. Lui redonner une place de façon aussi humble est une belle philosophie.
RépondreSupprimerIsabelle T