Tous les textes écrits par Jacqueline Z.
Longtemps, je me suis contentée de m'agiter ... et de lire.
Aujourd'hui, je me pose.
J'écris par besoin et par plaisir .
J'attends chaque mois la nouvelle proposition avec impatience.
Chaque fois, je me sens dépourvue pour y répondre.
Et chaque fois, une lente maturation s'opère qui finit par donner un bout de texte.
- « J'voudrais pas qu' mon papa y s'énerve ... »
- Sculpture dans une exposition
- Humeur du jour
- La forêt des sucreries
- Il était un petit navire...
- Complainte de l'ours en Alaska ou le poids des mots, le choc des photos
- Objets inanimés ….
- Aux portes du temps (Cristina Iglesias)
- Matière pour interview
- Aller et retour (suite Lynn F. n°58)
- A mes pieds
- Juste une promenade
- Le dernier empereur : prequel
- Abécédaire emoji
- Trois gourmandises de ma jeunesse
- Joan Miro versus Marcel Amont
- Un bombardier pour la vieille dame
- Babillage
- Les mains
- 11 juin 2014 : jour de blues
- Comme si c'était l'automne...
- Et il y avait " Le Grand Maulnes "...
- La lectrice
- Retour ému sur les robes que je n'ai jamais portées
- Vêtements - émotions
- Génération métamorphose
- Le petit chaperon noir
- En quête désespérée du temps qui passe
- Avril qui rit, avril qui pleure en quatre images
- Music forever
- Instantané musical
- "Zoom" et "Tête à queue" (2 textes gigognes)
- A bâtons rompus
- La prophétesse d'Antinoë
- Le Printemps du Livre à Grenoble
- Une histoire d'Amérique
- Tricherie en noir et blanc
- Comment cet éléphant devint monstrueusement célèbre
- Un patient pas ordinaire
- Jour de chance
- Citadine
- Alternative naturelle
- Histoire vraie
- Petit amusement de circonstance
Ces textes sur les vêtements, comme le costume d'Arlequin, fait de petits bouts de souvenirs et de vécu sont bien attendrissants. Lyline
RépondreSupprimerCette petite lectrice est tout à fait adorable et c'est une très jolie idée de parler de la lecture et de ce qu'elle nous apporte à travers elle. Lyline
RépondreSupprimerÇa me plaît d'avoir réussi à rendre ma petite-fille adorable : elle n'aura jamais trop de tout l'amour du monde, même à distance .
SupprimerMerci Lyline pour les commentaires symplathiques
Jacqueline z
Joli moment de partage ce moment de lecture et bravo pour cette délicatesse
RépondreSupprimerCes petites-filles ( j'en ai deux) ne peuvent susciter que des mots d'amour et de tendresse... Mais je ne suis pas objective !
RépondreSupprimerMerci Aline
Jacqueline Z
Ça me rassure ta lecture du Grand Maulnes, mes copines de l'époque trouvaient que c'était terrrriblement romantique, moi, je trouvai que ça n'était pas logique et, en tous cas, peu crédible...Mais bon, j'ai le même problème aujourd'hui avec la littératures "fantasy" que les jeunes aiment tant !
RépondreSupprimerIl faut croire que le romantisme et le fantastique ne sont pas notre tasse de thé !
SupprimerQui es-tu ?
SupprimerEnfant, je me suis toujours bercee d'innombrables histoires. Ces "minutes de petite-fille", quelle jolie expression, m'ont beaucoup touché, elles m'ont rappele aussi ma fille ainee qui petite lisait ainsi dans son imagination en laissant courir son minuscule index sur tout ce qui lui tombait sous la main, botin compris!! :)
RépondreSupprimerC'est vrai que les relectures sont parfois surprenantes, quand la magie n'est plus au rendez-vous on a l'impression d'avoir perdu ou gache un souvenir, pourtant je reste persuadee que chaque livre, qui nous a marque a un moment donne, demeure a jamais une pierre posee qui nous construit. Merci pour ces bons moments. Amicalement, Valerie B
Bien sûr, je suis de ton avis: même si ce roman est devenu une sorte de scénario de feuilleton à sa seconde lecture, il n'en reste pas moins que c'est qui celui a nourri, à une époque donnée, un besoin d'évasion hors du cercle familial et scolaire. Lecture initiatique donc de l'ordre de la construction personnelle sans doute
SupprimerMerci pour les réactions
Amitiés JZ
Oh que j'aime ce patchwork de photos si bien choisies ! La forme aussi comme des "tangas" couplés avec de bien jolies choses. C' est l'automne, comme on le connaît, en deux façons : Tristounet mais splendide et c'est tout à fait réussi.
RépondreSupprimerLilyne
Merci Lilyne !
SupprimerJacqueline Z
joli panel de l'automne, tout y est
RépondreSupprimerJ'ai essayé en tous cas !
SupprimerJZ
Que dire de la finitude...Emouvant, bien sûr. Lilyne
RépondreSupprimerDire de la finitude qu'elle est inscrite, je crois, au cœur de chacun(e) d'entre nous, à titre personnel mais aussi à titre collectif sans doute. COP 21...? J'ai décidément du mal à "optimismer"comme dit l'autre !
SupprimerJacqueline Z
L'emerveillement de l'enfant et la magie de l'instant present, juste du bonheur! :) Amicalement, Valerie
RépondreSupprimerJuste du bonheur en effet ce petit être qui n'a pas les mots, juste un regard tout neuf.
SupprimerMerci Valérie
Jacqueline
"Coeur a coeur, main dans la main" cette derniere esquisse de mains m'a pris le coeur! Amities, Valerie.
RépondreSupprimerCette jolie évocation Miro/Amont donne un coup de soleil dans le cœur, et moi je mise sur le bleu pour cette nouvelle annee et tous mes voeux
RépondreSupprimerMerci pour les vœux et l'optimisme du bleu
SupprimerJacqueline Z
Un bien joli personnage et un cocktail détonnant servi avec une grande dextérité (et une belle écriture) mais quelle tristesse toutefois ! Lilyne.
RépondreSupprimerLa vie quoi !!! Du joli, du moins beau ...
RépondreSupprimerMerci
Jacqueline Z
C'est "ben vrai" ça! Sacré Joan, qui nous titille encore les neurones! Il ne se moquait pas un peu de nous, pauvres béotiens? moi, c'que j'en dis...
RépondreSupprimerCordialement,
Eléonore L.
Une bien jolie nostalgie dans ces plats d'enfance...Chacun à sa "Madeleine" personnelle. Mes filles (largement adultes) parlent encore de leur "goûter de bébé" pour la tartine au chocolat !!
RépondreSupprimerLilyne
Evocations un peu longues et sans originalité d'écriture, mais qui me font du bien
RépondreSupprimerMerci Lilyne
JZ
Douceur et tendresse dans cette évocation de toute une vie à deux...Lilyne
RépondreSupprimerC'est bien quand on y arrive, et encore mieux quand on peut le raconter .Merci Lilyne
Supprimer"juste une promenade" : la tendresse infinie, à déguster sans modération, autant le texte que la photo. Odile
RépondreSupprimerMerci Odile... C'est v rai que cette photo m'a émue, je dirais aux larmes et que j'ai eu envie d'en faire part .
SupprimerBonjour Jacqueline!
RépondreSupprimerJe voulais vraiment te remercier pour avoir repris mon texte "aller ou retour" !! J'ai été extrêmement surprise et touchée par les recherches que tu as faites et l'implication que je devine à travers tes mots. Un grand merci et à bientôt,
Lynn
Bonsoir Lynn
SupprimerEnchantée que tu m'aies permis de faire ce petit voyage virtuel en Afrique du Sud. J'y ai appris beaucoup et pris beaucoup de plaisir. Quant à l'histoire, elle m'a été évidente grâce à ton texte à toi ... Bravo donc et à bientôt
Jacqueline
Bravo pour tes recherches qui nous permettent de nous promener avec la narratrice dans les rues de Prétoria !!! Nicole LOYNET
RépondreSupprimerCourte promenade toutefois, guidée par le coup de pouce de Lynn, car je n'y serais pas allée toute seule...Comme quoi l'écriture à 4 mains ça marche !
SupprimerJacqueline Z
Belle et emouvante histoire a quatre mains. Dans cette quete d'Ada de mieux comprendre ses racines pour mieux se connaitre, j'ai beaucoup aime la relation avec cette mere qui n'est plus mais qui grace a ses photos, a son rire, a ses mots, l'inscrit dans ses lieux et dans cette belle lignee de femmes qui racontent son histoire. Jacarandas, bantoustans...merci pour le voyage. Amicalement, Valerie B.
RépondreSupprimerMerci Valérie
SupprimerQuand mon fils est entre dans la cuisine j'avais le regard un peu embue, un texte apres je terminais ma lecture pliee de rire en baisant de reconnaissance mes petites barques! Mon fils interloque m'a dit alors d'un air taquin: maman si Tisser les mots te fait cet effet la tu devrais peut-etre arreter et passer au tricot! Cette ode savoureuse aux petons, aux ripatons, aux arpions, aux panards, quel pied! Bon d'accord la repartie est un peu facile mais je n'ai pas pu resister, il n'en reste pas moins vrai que c'est un pur bonheur! Amities, Valerie B.
RépondreSupprimerRe-merci Valérie, mais ton fils a peut-être raison: j'aurais besoin de doux chaussons ...
RépondreSupprimerJacqueline Z
Je prends note pour l'hiver prochain! :D
SupprimerIl y a des ecrits qui resonnent en toi,tu te retrouves et tu te sens compris comme si l'auteur tel un ami proche te parlait ou te pretait ses mots. Il en va ainsi de la premiere partie de ton interview qui m'a profondement touche et que tu as superbement conclu par cette merveilleuse citation de Duras. Merci pour tes mots. Amities, Valerie B.
RépondreSupprimerQue dire Valérie, sinon, que nous sommes peut-être sur la même longueur d'onde ??? A bientôt JZ
SupprimerCe bel interview ne me laisse pas de marbre, loin de là....je comprends qu il est important de conserver précieusement ses écrits. Dans un coffre peut être?
RépondreSupprimerAh, ah, Aline !!! Tu te trompes d'interlocuteur .. Mes écrits à moi sont faits pour éventuellement être lus: je n'ai peur de rien !!
SupprimerJacqueline Z
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'ai bien apprécié la complainte de l'ours, le poids des mots, le choc des photos. Bien amené pour ce texte empreint de nostalgie. J'ai savouré avec humour la dernière photo, celle de "l'ours-enfant" prêt à éclater grâce à la "diététique" de notre temps!
Belle route sur les traces de l'ours blanc!
Michel L.
Merci Michel de ce commentaire. Cette manière de convoquer l'ours ( les ours) dans notre culture me fait penser à la tienne, à la façon dont l'ours Martin traverse le temps et l'esprit. Deux façons d'invoquer l'ours ( polaire ou pas) dans toutes ses acceptions, dans toutes ses figures
SupprimerJacqueline Z
Jacqueline, ta complainte de l'ours en Alaska est à se tordre de rire ! Et puis tu joues avec la présentation physique du texte, tu insères de photos...c'est jubilatoire !!! Merci de ce partage de ton imagination débridée ! Bises
RépondreSupprimerUn beau texte très vivant empli de belles images. Je sens la chaleur du soleil, j' entends les voiles claquer au vent et pourtant je suis calfeutrée chez moi à cause de la chaleur . Tu m' as fait rêver au temps de ma jeunesse . Merci pour ce souvenir qui sent vraiment le vécu .Amitiés Martine
RépondreSupprimerMerci, merci Martine; les souvenirs comme une sorte de réparation ...
SupprimerJacqueline Z
Superbe conte "la forêt des sucreries" qui nous replonge dans les délices et les affres de l'enfance. Odile
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