Les mots : les mots qui brûlent, ceux qui blessent ceux qui déchirent mais aussi ceux qui consolent, ceux qui bercent, ceux qui enchantent,
Les mots : leur douceur, leurs aspérités, leur musique,
leur chaleur, leur force. Les mots du bonheur, et ceux du chagrin.
Les mots : le bonheur de la lecture, et même celui de
l'écriture.
Et puis aussi : le silence entre les mots. Car « chaque atome de silence est la chance d'un fruit mur » nous a dit Valéry
Tous les textes écrits par Chantal C.
- ma forêt mal aimée
- La vie reprisée
- Archibald
- Rêverie au bord de l'eau
- Je dis : désert et...
- Bienvenue à l'an nouveau !
- Les mains, de Dürer (étude)
- Les livres : tellement indispensables
- Pourquoi, mais pourquoi donc ?
- Elle et Lui
- Un reflet du ciel bleu
- Par-dessus bords, les clés !
- La pomme de Newton et moi...
- Madame Sorgénor
- L'arbre. C'était mon ami, c'était mon tilleul
Il est vrai que la couleur manquait ces dernières années mais il semblerait que cela change...Enfin, surtout l'été c'est vrai.Lyline
RépondreSupprimerLes livres sont certainement indispensables...Pour ceux qui lisent déjà beaucoup, pour d'autres à présent, hélas, cela semble un peu obsolète. Lyline
RépondreSupprimerHélas, oui
RépondreSupprimerTu as raison meme si l'habit ne fait pas le moine et que le contenu evidemment prime, le livre en lui meme est un objet fascinant. Format, matiere, patine, odeur, le rende encore plus attachant et digne d'interet. Si aujourd'hui la technologie allege nos valises, rien ne remplacera jamais nos compagnons de la pensee! Amicalement, Valerie B.
RépondreSupprimerncore plus dignes d'interet
Merci pour ton commentaire. Oui, moi aussi j'ai besoin du livre papier, j'ai besoin de tourner les pages, et comme tu le dis, le format, le papier (qui diffère selon les éditeurs), sa couleur (plus ou moins blanc), son format, son poids du livre même, tout cela contribue au plaisir de lire, et la lecture sur liseuse ou tablette (un objet si froid!) ne m'a pas, pas du tout convaincue.
RépondreSupprimerUne belle idée que ces mains de Dürer, elle sont si belles ! Lilyne
RépondreSupprimerMerci, Valérie
SupprimerMerci, Lilyne.
SupprimerCes mains si emouvantes de Durer meritent tous les hommages, qu'elles implorent ou rendent grace, ton texte leur rend justice, merci pour cette magnifique rencontre. Amicalement,Valerie
RépondreSupprimerMerci, Valérie. J'aime tant ces "mains de Durer" que cela me fait vraiment plaisir que toi aussi tu les trouve émouvantes et belles.
SupprimerAh ! Il me plaît beaucoup cet abécédaire plein d'espoir et de joie ! Et qu'importe si tous nos vœux ne sont pas exaucés, rêver ça compte . Lilyne.
RépondreSupprimerOui, nous avons tous besoin de rêver je crois.
SupprimerAbécédaire gai, frais; on a envie d'y croire.
RépondreSupprimerJ' ai fait , en te lisant un très beau voyage! Merci à toi . Martine
RépondreSupprimerMerci, Martine. C'est vrai que le désert (en fait le Sahara) pour moi c'est un endroit où j'aurais aimé "poser mes bagages" pour toujours...
RépondreSupprimerBon, on admettra qu'un coin au bord de l'eau est une terrasse et l'on méditera tranquillement :) Lilyne
RépondreSupprimerJ' ai beaucoup aimé cette promenade dans l' allée de cette brocante et ai beaucoup de sympathie pour cette femme qui doit repriser sa vie. Amitiés
RépondreSupprimerMerci pour ce commentaire amical. Je crois que nous avons tous des "accrocs" dans nos vies...
Supprimer"La vie reprisée" : quel bel écrit! Ton texte m'a beaucoup touché.
RépondreSupprimerValérie T
Merci Valérie. Oui, je me dis souvent que dans nos vies nous avons presque toujours quelque chose à "repriser"...
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